(AGS) Zaïna, étudiante tunisienne à Paris, est réduite à son insu à l’état de pute à sperme par son patron raciste

(AGS) Zaïna, étudiante tunisienne à Paris, est réduite à son insu à l’état de pute à sperme par son patron raciste

Bernard, dentiste de plus de cinquante ans, pervers à ses heures perdues

Chapter 1 by SemenObsessed SemenObsessed

Bernard est dentiste depuis plusieurs décennies. Il a une bonne cinquantaine d’année. Mais ce qui le distingue de la plupart de ses collègues, c’est une très grande perversité. C’est ainsi qu’il se souvient avec nostalgie de ses années en école de médecine, où il a rencontré Serge : le seul homme à l’égaler dans le domaine des pratiques et des fantasmes les plus tordues. Il arrive encore à Bernard, malgré son âge, de bander comme un taureau en pensant aux aventures qu’il a passé avec Serge. Le duo n’avait aucune limite : le harcèlement sexuel de certaines filles dans leurs promos qu’ils ciblaient spécialement pour leur fragilité mentale (une d’entre elle a voulu en finir et s’est retrouvée à la morgue, quelques étages en dessous de là où elle avait précédemment eu cours), les soirées étudiantes où ils avaient toujours un petit quelque chose à glisser dans le verre de quelque étudiante insouciante, le chantage d’une lesbienne qui ne voulait pas que ses parents homophobes arrêtent de payer ses études et qui a donc eu une série de cours accéléré de fellation, les petites visites nocturnes à la morgue…

Mais quand Bernard s’est spécialisé en dentisterie, ils ont commencé à moins se voir. Puis ils ont eu leurs diplômes, ont déménagé, et se sont perdus de vue. Malgré quelques visites chez des prostituées, trop chères, qui se laissaient traiter comme la moitié de l’objet sexuel que Bernard aurait voulu qu’elles soient, la sexualité de Bernard a petit à petit perdu en intensité et en expérimentation. Quand Bernard a fini par avoir son propre cabinet dans un quartier très bourgeois de Paris, son quotidien était déjà très calme. Les années ont passées et ne sont devenues que plus calmes. Trop calme à son goût.

Un jour, Bernard, qui était lassé de la pornographie qu’il s’était habitué à regarder, a trouvé une vidéo qui allait devenir une obsession. C’était filmé par un polonais qui donnait à leurs insu de la nourriture imbibée de sperme aux jeunes femmes parmi ses collègues. Par exemple, on le voit servant à une jeune femme, passant un entretien d’embauche, un jus d’orange coupé au sperme. Mais aussi, il injecte son sperme avec une seringue dans des bonbons et des doughnuts qu’il donne à ses collègues. Il éjacule aussi sur des pâtisseries. Le montage de cette vidéo incorporait du texte qui parfois, nommaient les femmes, et parfois les insultaient de salopes, de putes à foutres, etc.

Bernard a commencé à regarder cette vidéo en boucle. C’était tellement excitant de voir ces jeunes femmes qui n’étaient pas des actrices pornos, mais des femmes normales du quotidien, se faire souiller de la sorte, sans leur consentement et sans même qu’elles le sachent. Très vite, le cerveau malade de Bernard a commencé à fantasmer à 100 à l’heure : il se mettait à imaginer ce que ce serait de faire pareil avec de la pisse, ou de le faire avec du sperme d'autres mecs, ou de le faire avec des quantités plus grandes. Toujours plus, plus souvent, plus pervers. Le sperme, et autres fluides corporels, dans ou sur le corps d’une femme qui ne suspecte pas qu’elle se fait ainsi molester : voilà ce qui était devenu l’obsession de la crise de la cinquantaine de Bernard. Pour d’autres, c’est le kayak ou l’observation ornithologique. Pour Bernard, c’était ça.

Bernard regrettait de ne pas avoir de réceptionniste femme qu’il pourrait traiter de la sorte, mais le réceptionniste qui travaillait dans son cabinet était un homme, et il aurait bien embauché une femme à la place s’il n’était pas en CDI. Mais c’est alors que Bernard eut une idée qui allait changer enfin son quotidien, et remettre de l’excitation au centre de sa vie. Certes, il n’a pas de collègue femme, mais il a BEAUCOUP de clientes. Et ses clientes sont littéralement là, devant lui, la bouche grande ouverte comme des salopes, lui faisant confiance aveuglément. Il devait absolument en profiter. Il n’avait qu’à remplir une seringue de son sperme puant de vieux pervers, et le laisser couler délicatement dans la bouche de sa victime en lui faisant croire que ce n’est qu’un produit anesthésiant.

Mais Bernard était prudent. Il a regardé sur internet si un autre dentiste avait eu la même idée et s’était fait prendre, et il a trouvé un article évoquant un confrère ayant été viré et condamné pour avoir fait exactement ça. Une de ses clientes avait reconnu le goût (la salope)… Bernard ne voulait cependant pas abandonner le projet pervers. Il eut donc l’idée de se limiter à un nombre restreint de clientes, et de cibler ses celles qui avaient l’air les plus naïves. Et cela tombe bien, parce qu’il avait un faible pour les étudiantes…

Sa première victime, Marie-Jeanne, avait 18 ans, et était une étudiante en droit à Paris. Elle était très mignonne, avec des cheveux bruns clairs, des yeux verts scintillant derrière ses lunettes, des tâches de rousseurs adorables sur le nez et sur les joues. Des lèvres fines, bien roses. Et un nez retroussé. Il était le dentiste de sa famille depuis avant sa naissance, avait l’habitude de jouer au golf avec son père, et savait donc pertinemment que Marie-Jeanne avait reçu une éducation catholique intégriste. Elle n’était probablement pas au courant des choses sexuelles, et si il se trouve qu’elle connait le goût du sperme, il y a peu de chance qu’elle le dénonce de peur de la honte de devoir expliquer ça à ses parents. Mais Bernard doutait fortement que Marie-Jeanne ait été déniaisée. Il avait bavardé avec elle lors d’anciennes consultations, et avait été frappé par sa candeur. Elle lui expliqué le sens de la bague qu’elle porte au doit : une bague de pureté, qu’elle porte pour indiquer sa virginité et qu’elle retirera le jour de son mariage. Marie-Jeanne était donc le cobaye parfait pour Bernard, et ça l’excitait à fond de penser à son sperme souillant la bouche de cette ingénue de son jus de couilles gluant. Mais une autre raison pour laquelle Marie-Jeanne était une candidate parfaite était qu’elle portait un appareil dentaire. D’une part, sur le plan pragmatique, cela signifiant qu’elle allait revenir, d’autre part, sur le plan purement du kink, Bernard a toujours été un fétichiste des appareils dentaires (il se trouve que la lesbienne qu’il avait fait chanter avec Serge avait un appareil dentaire). Il n’y avait rien de plus beau que la vue d’une jeune bouche métallique grande ouverte prête à accueillir des jets de sperme. C’était l’une des raisons pour laquelle Bernard a voulu se spécialiser dans la dentisterie.

Ainsi, le jour où Marie-Jeanne avait sa consultation chez Bernard, il avait beaucoup de mal à se concentrer, au point où, par maladresse, il provoquait plus de douleur à ses patients que d’habitude. En attendant la venue dans son cabinet de l’étudiante, en arrivant à peine à penser à autre chose, chaque matin et chaque soir, il avait éjaculé dans un bol qui restait là sur sa table de nuit. Bernard sentait bien que l’odeur et l’aspect de son sperme se dégradait avec le temps. Mais il gardait le bol à son chevet parce que l’aspect absolument répugnant de cette substance, qui provenait de son propre corps, lui donnait d’autant plus envie de s’en servir sur une pauvre étudiante innocente. Après 7 jours, le liquide était jaunâtre, avec des touches d’orange et de brun, avec quelques grumeaux, et dégageait une odeur pestilentielle. C’était un concentré putréfié de masculinité perverse, qui, dans l’esprit sadique de Bernard, contrastait si parfaitement avec l’innocence et la féminité délicate de la très gentille et très candide Marie-Jeanne. Cela l’excitait tellement qu’il ne manquait jamais de vider ses couilles dans le bol quand il avait l’occasion.

Le jour j, Bernard aspira le contenu du bol dans la plus grosse seringue qu’il avait pu trouver. Cette seringue, il l’avait mise dans sa poche. Régulièrement, il mettait la main dans sa poche pour vérifier que la seringue était toujours là. Puis vint le moment où Marie-Jeanne est rentré dans la salle d’attente. Bernard s’était assuré qu’il n’avait pas de client avant elle, pour qu’il puisse l’espionner discrètement en se branlant, pendant qu’elle lit le dernier numéro de la revue Frontières. Quand sa main fut bien humidifié par sa branlette, il cessa cette activité, essaya de cacher son érection dans son pantalon, et s’avança dans la salle d’attente, grand sourire, pour saluer Marie-Jeanne et lui demander des nouvelles de son père. Marie-Jeanne répondit qu’il allait bien, et s’appétait à faire la bise à son dentiste/ami de la famille, comme elle le faisait d’habitude. Mais il la repoussa, prétextant un léger rhume, et lui tendit la main, pour lui serrer la main. Marie-Jeanne pris donc cette main, et fut surprise par sa moiteur, mais n’y pensa rien (la conne).

Puis, ils se dirigèrent vers la salle d’auscultation.

Quand vint le moment fatidique où la jolie Marie-Jeanne était en position, avec sa bouche grande ouverte comme la salope que Bernard voudrait faire d’elle, montrant bien ses belles dents recouvertes de son appareil dentaire, Bernard savait ce qu’il avait à faire. Marie-Jeanne s’était toujours plein des douleurs que lui entrainait son appareil dentaire quand Bernard l’auscultait. Il lui dit que pour lui faire moins mal, il avait acheté un nouveau médicament anesthésiant, mais que ça avait très mauvais goût. Elle répondit que ce n’était pas grave, et le remercia d’avoir pensé à ses douleurs. Entendre sa victime le remercier pour ce qu’il allait lui faire fait sautiller l’érection de Bernard, qui pouvait à peine attendre de verser le jus immonde et pourris de ses couilles dans la bouche grande ouverte de la jeune fille. Mais Bernard avait une dernière chose à demander à la pauvre Marie-Jeanne avant de la salir buccalement à jamais. Il lui demanda, en bégayant (tellement c’était excitant pour lui) de se gargariser avec le ‘‘médicament’’.

Marie-Jeanne acquiesça, et ouvrit à nouveau la bouche.

Le cœur de Bernard sauta un battement quand son venin ignoble s’échappa de la grosse seringue pour se poser délicatement sur la petite langue rose de Marie-Jeanne. Il y avait déjà dans cette première grosse goutte de foutre pourri les immondes grumeaux qui s’était formés dans la semaine, et il y avait aussi des poils de Bernard. Bernard réalisait alors qu’il était vraiment en train de nourrir cette pauvre étudiante crédule avec un déchet de son propre corps : son fantasme était en train de se réaliser, et ce ne sera pas la dernière fois. Mais c’est quand il vit que le message nerveux que les papilles assiégées de Marie-Jeanne était enfin arrivé jusqu’à son petit cerveau, portant avec lui une déclaration de guerre, que Bernard failli éjaculer dans son pantalon, car dans les yeux de Marie-Jeanne on pouvait lire une telle surprise, un tel dégoût, que cela dépassait de loin ses fantasmes les plus fous. Bernard avait un plaisir sadique indescriptible à voir Marie-Jeanne souffrir ainsi, et il en voulait encore plus… alors il appuya sur la seringue et fit jaillir un gros jet de son sperme pour que la goutte devienne un torrent, et que ce soit toute sa langue qui soit recouverte de cette semence pourrie, emmenant avec elles son lot de grumeaux et de poils pubiens.

Bernard se délectait de la vision de Marie-Jeanne, s’efforçant de cacher, par politesse, ses grimaces de dégoût, et n’arrivant pas à dissimuler qu’elle s’étouffe et qu’elle est assaillie par une horrible nausée et une terrible envie de vomir. Mais il restait la moitié du foutre dans sa seringue, alors Bernard se mit à en recouvrir ses dents, pour que les grumeaux et les poils se coincent dans les recoins de soin appareil dentaire. Et il réussit.

Alors, Bernard, qui avait fini par vider tout le contenu de sa seringue, pu contempler son œuvre. Marie-Jeanne, la bouche remplit de son sperme visqueux, des grumeaux et des poils flottants à la surface, faisant ses plus grands efforts pour ne pas vomir, pendant qu’une petite larme coule de son œil rouge et laisse une trainée translucide sur les taches de rousseur de sa douce joue rose.

Bernard prit tellement de temps à contempler la dégradation de Marie-Jeanne qu’il ne se rendit pas compte qu’elle le regardait sans comprendre pourquoi il restait ainsi sans rien faire. Alors Bernard sortit de sa stupeur pour exécuter la suite de son plan :

Il lui dit : « Allez-y, mademoiselle, souvenez-vous de ce que je vous ai dit. Gargarisez-vous. Faites des bulles ».

C’est ce que fit péniblement Marie-Jeanne.

Alors Bernard dit : « Maintenant mademoiselle, avalez la moitié du produit ».

Bernard se délectait de la surprise horrifiée qu’il vit dans les yeux de Marie-Jeanne, qui pensait qu’elle allait pouvoir cracher. Non seulement elle allait devoir avaler (ce n’était pas suffisant de souiller sa bouche, il fallait souiller sa gorge et son estomac), mais elle allait devoir le faire en deux fois.

Marie-Jeanne eut presque cru que cette première gorgée allait lui être fatale tellement elle lui était fétide. De plus, il y en avait tellement qu’elle n’a pas pu fermer sa bouche sans faire déborder, et du sperme avait coulé sur sa joue jusque dans son oreille. Par miracle, elle arriva à s’empêcher de vomir. Alors, elle regarda Bernard dans les yeux pour d’autres instructions.

« Maintenant, faites tourner le médicament une dizaine de fois dans votre bouche pour qu’il imprègne bien ».

Marie-Jeanne procédant ainsi, en fermant les yeux : elle ne vit donc pas le rictus sadique de son dentiste familial. Quand elle les rouvrit, ce fut pour demander implicitement à Bernard si elle pouvait cracher cette gorgée au moins. Mais Bernard allait la décevoir.

« Maintenant, avalez tout ».

Résignée, Marie-Jeanne obéit. Bernard continua à ausculter son appareil dentaire pour vérifier que ses grumeaux et ses poils étaient bien incrustés.

A la fin de la séance, Marie-Jeanne, qui avait encore le goût fétide dans sa bouche. Demanda à Bernard un verre d’eau pour se rincer la bouche. Elle avait visiblement la nausée au moment où elle lui a demandé ça. Mais Bernard allait encore la décevoir. Il lui dit qu’il ne fallait surtout pas rincer le médicament avant demain (et qu’il ne fallait donc pas d’eau avant demain), pour qu’il fasse effet. Marie-Jeanne, encore, se résigna. Elle lâcha un soupir. Bernard pouvait sentir dans le soupir de cette belle idiote la puanteur fétide du jus putride de ses grosses couilles, ce qui eut pour résultat de le finir par le faire éjaculer dans son caleçon. Puisqu’il peina à dissimuler son trouble, Marie-Jeanne pensa qu’il faisait un malaise, et s’approcha de lui. C’est alors que Bernard pu voir sur ses dents les traces dégoutantes de son passage, ce qui acheva de sublimer son orgasme.

Quand Marie-Jeanne fut partie, Bernard pu faire le bilan de cette expérience. Il en conclu qu’il était trop risqué de continuer avec la technique du bol (ça risquerait aussi de faire fuir les clientes), et qu’à l’avenir il mettrait plutôt dans sa seringue du sperme frais, en moindre quantité, prélevé le jour même. Pour Marie-Jeanne, il allait pouvoir lui dire qu’il a trouvé un meilleur anesthésiant (il espérait qu’elle allait encore le remercier). Pour les autres de ses clientes étudiantes sur lesquelles il voulait essayer ça, il allait pouvoir commencer plus en douceur qu’avec Marie-Jeanne.

Mais il y avait un problème. Bernard rêvait de faire ça à une arabe. Or, il n’avait pas de jeune femme arabe parmi ses clientes : le quartier de son cabinet était trop blanc pour cela. Mais Bernard se souvenait des histoires de son oncle pervers qui avait été en Algérie et qui lui racontait toutes les perversités qu’il avait fait subir à femmes locales. Il en avait tiré un gout prononcé pour les femmes arabes. Il voudrait faire subir ce qu’a subi Marie-Jeanne, idéalement, à une étudiante beurette, de préférence avec un appareil dentaire. Mais comment allait-il y arriver si aucune de ses clientes ?

C’est alors qu’il se souvint qu’il avait besoin d’une nouvelle femme de ménage… BINGO !

Il était loin de s’imaginer que cette idée allait se révéler la plus chanceuse qu’il ait eut de toute sa vie, car c’est ainsi qu’il allait rencontrer une étudiante atteinte de AGS, qui allait petit à petit assouvir, à insu, tous ses fantasmes.

Comment trouve-t-il Zaïna? Comment se passe l'entretien d'embauche?

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